Le photographe Barry Feinstein, célèbre notamment pour les pochettes de l'album Pearl, de Janis Joplin, All Things Must Pass, de George Harrison et The Time they are a-changing, de Bob Dylan, est décédé la semaine dernière à 80 ans.
Retour sur l'année 66, durant laquelle il suivit le chanteur à l'harmonica lors de sa tournée européenne.
"Vous l'aurez certainement compris... je suis dingue des 60's et 70's. Mon grand regret ? ne pas avoir eu 20 ans à cette époque. Je tente quand même de me faire une place dans ce monde post-beat generation ! La preuve..."

mardi 25 octobre 2011
mercredi 19 octobre 2011
Et si on écoutait… Jackson C. Frank…
Malheureusement peu connu, Jackson C. Frank est un auteur, compositeur et interprète américain, né en 1943. Les amateurs de folk apprécieront la simplicité et la sensibilité de sa musique. Et pour cause, le chanteur ne s’accompagne que d’une guitare acoustique. Paul Simon, qu’il rencontre dans un bar à Londres, produira son album éponyme en 1965. Il reprendra plus tard, avec Art Garfunkel, l’une de ses chansons Blues Run The Game. La carrière de Jackson C. Frank n’a pas fait long feu. Traumatisé par un accident étant enfant, il portera à vie les souffrances physiques et psychologiques de ce drame. Les médicaments et la vie dans la rue auront raison de lui et l’emporteront en 1999.
dimanche 16 octobre 2011
Asaf Avidan : Janis sort de ce corps !!!
Non, Asaf Avidan n’a pas d’actualité particulière ces derniers temps et la sortie de son dernier album Through the Gale remonte à 2010, pourtant… j’ai vraiment envie de m’arrêter le temps d’un petit post sur ce personnage incroyable du folk-rock.
Israélien, né en 1980, de parents diplomates, il est bercé par la musique des Doors, des Stones, de Led Zep ou encore de Neil Young (il était donc normal que je lui consacre mon dimanche matin !) Mais c’est surtout pour sa voix exceptionnelle et ses aigus « joplinesques » que je tenais à parler de lui. Janis reste certes la seule déesse inégalée sur cette terre (n’ayons pas peur des mots) en matière de timbre éraillé et de puissance vocale au féminin, c’est pourquoi, seul un homme pouvait se permettre de lui arriver à la cheville. Ne cherchez plus, on l’a trouvé !
Asaf Avidan, chanteur et compositeur, a sorti son premier album autoproduit en 2006. On le connaît surtout pour son groupe créé un an plus tard : Asaf Avidan and The Mojos, quatre musicien qui l’entourent dont une violoncelliste étonnante. Trois albums voient le jour, The Reckoning (2008), Poor Boy / Lucky Man (2009) et Through the Gale (2010). Mélange de Bob Dylan et de Jeff Buckley reboosté par une touche rock détonante, le groupe, pourtant très productif, décide de faire une pause en juillet dernier pour que chaque membre puisse poursuivre ses projets personnels. Et cela réussit plutôt bien au petit-fils spirituel de la folk. Première partie de Bob Dylan himself lors de son concert à Tel Aviv, il sera jeudi 20 octobre, en acoustique, à La Cigale.
mercredi 16 mars 2011
Dylan au Vietnam ou le concert pour touristes !
Pour la petite histoire, sachez que, plus de 40 ans après son engagement contre la guerre au Vietnam, Bob Dylan donnera le 10 avril prochain son premier concert dans le pays communiste.
C'est dans un stade universitaire d'Ho Chi Minh Ville que le chanteur pacifiste se produira devant 8 000 spectateurs.
Avec un événement comme celui-ci, son agent Rod Quinton s'attend à ce que les places se vendent très rapidement. Le tarif de celles-ci est fixé à 900 000 dongs soit 45 dollars ou encore 30 euros.
Bonne nouvelle donc pour les touristes occidentaux de passage en Asie du Sud-Est qui vont certainement se ruer sur les billets et se délecter d'avoir assister à un concert historique !
Moins bonne en revanche pour les Vietnamiens, qui resteront probablement chez eux ce soir-là, leur salaire mensuel minimum ne dépassant pas les... 900 000 dongs.
C'est dans un stade universitaire d'Ho Chi Minh Ville que le chanteur pacifiste se produira devant 8 000 spectateurs.
Avec un événement comme celui-ci, son agent Rod Quinton s'attend à ce que les places se vendent très rapidement. Le tarif de celles-ci est fixé à 900 000 dongs soit 45 dollars ou encore 30 euros.
Bonne nouvelle donc pour les touristes occidentaux de passage en Asie du Sud-Est qui vont certainement se ruer sur les billets et se délecter d'avoir assister à un concert historique !
Moins bonne en revanche pour les Vietnamiens, qui resteront probablement chez eux ce soir-là, leur salaire mensuel minimum ne dépassant pas les... 900 000 dongs.
mardi 8 mars 2011
vendredi 4 mars 2011
mardi 1 mars 2011
Dylan perd sa muse
Le 24 février dernier, Suze Rotolo, grand amour du chanteur à l'harmonica que l'on voit d'ailleurs à son bras sur la pochette de The Freewheelin' Bob Dylan, s'est éteinte à l'âge de 67 ans des suites d'une longue maladie.
L'auteur de Don't Think Twice, It's All Right avait rencontré la jeune femme, alors âgée de 17 ans, en 1961 dans les coulisses d'un de ses concerts. Dans ses Chroniques, publiées en 2004, Bob Dylan parle d'elle comme d'une muse : "Je ne pouvais la quitter des yeux, c'était la femme la plus érotique que j'ai rencontrée".
Pendant 3 ans, Suze Rotolo et Dylan vivent une véritable passion avant de se séparer en 1964, suite au départ de la jeune artiste en Italie. Devenue auteure et illustratrice, elle épouse en 1970, le réalisateur Enzo Bartoccioli.
Editrice de livres d'art, elle retourne à New-York et enseigne à la Parsons School of Design.
Elle publie ses mémoires en 2009, A Freewheelin' Time : A Memoir of Greenwich Village in the Sixties.
Bien plus qu'une simple petite amie ou que la "jeune fille sur la photo", Suze Rotolo était avant tout une source d'inspiration pour le chanteur. On lui doit ses plus beaux textes notamment Ballad in D Plain, The Death of Emmett Till ou encore Boots of Spanish Leather.
L'auteur de Don't Think Twice, It's All Right avait rencontré la jeune femme, alors âgée de 17 ans, en 1961 dans les coulisses d'un de ses concerts. Dans ses Chroniques, publiées en 2004, Bob Dylan parle d'elle comme d'une muse : "Je ne pouvais la quitter des yeux, c'était la femme la plus érotique que j'ai rencontrée".
Pendant 3 ans, Suze Rotolo et Dylan vivent une véritable passion avant de se séparer en 1964, suite au départ de la jeune artiste en Italie. Devenue auteure et illustratrice, elle épouse en 1970, le réalisateur Enzo Bartoccioli.
Editrice de livres d'art, elle retourne à New-York et enseigne à la Parsons School of Design.
Elle publie ses mémoires en 2009, A Freewheelin' Time : A Memoir of Greenwich Village in the Sixties.
Bien plus qu'une simple petite amie ou que la "jeune fille sur la photo", Suze Rotolo était avant tout une source d'inspiration pour le chanteur. On lui doit ses plus beaux textes notamment Ballad in D Plain, The Death of Emmett Till ou encore Boots of Spanish Leather.
lundi 7 février 2011
dimanche 6 février 2011
jeudi 3 février 2011
Dernière danse pour Maria Schneider
Révélée à 19 ans par le film de Bernardo Bertolucci, Un Dernier Tango à Paris, la comédienne Maria Schneider est décédée aujourd'hui à l'âge de 58 ans des suites d'un cancer.
Fille du mannequin Marie-Christine Schneider et de l'acteur Daniel Gélin (qui refusa de la reconnaître), elle débute sa carrière aux côtés de Marlon Brando en 1972. Après le succès du cinéaste italien, Maria Schneider connait certes une gloire internationale mais ne parvient pas à se libérer totalement de ce rôle.
En 1973, elle tourne dans le film de Michelangelo Antonioni, Profession : Reporter. Puis, Philippe Garrel lui offre un rôle dans Voyage au Jardin des Morts (1976). En 77, on la retrouve dans Merry Go-Round, de Jacques Rivette. Et enfin, en 1992, dans Les Nuits Fauves, de Cyril Collard.
Maria Schneider sera inhumée au cimetière du Père-Lachaise et rejoindra son partenaire Marlon Brando, disparu en 2004, pour un dernier tango.
Fille du mannequin Marie-Christine Schneider et de l'acteur Daniel Gélin (qui refusa de la reconnaître), elle débute sa carrière aux côtés de Marlon Brando en 1972. Après le succès du cinéaste italien, Maria Schneider connait certes une gloire internationale mais ne parvient pas à se libérer totalement de ce rôle.
En 1973, elle tourne dans le film de Michelangelo Antonioni, Profession : Reporter. Puis, Philippe Garrel lui offre un rôle dans Voyage au Jardin des Morts (1976). En 77, on la retrouve dans Merry Go-Round, de Jacques Rivette. Et enfin, en 1992, dans Les Nuits Fauves, de Cyril Collard.
Maria Schneider sera inhumée au cimetière du Père-Lachaise et rejoindra son partenaire Marlon Brando, disparu en 2004, pour un dernier tango.
dimanche 23 janvier 2011
mercredi 19 janvier 2011
Polémique Dire Straits : les radios contre-attaquent
Pour la petite histoire, sachez que le titre Money for Nothing de Dire Straits avait été interdit d'antenne le 12 janvier dernier par le Conseil Canadien des Normes de la Radiotélévision (CCNR) pour l'emploi à plusieurs reprises du terme "faggot" (approximativement "tapette"). (Lire post : Le Canada censure Dire Straits)
Aujourd'hui, les radios K-97 et Q104 s'insurgent contre cette décision et revendiquent leur liberté d'expression. Vendredi dernier, elles diffusaient en boucle pendant une heure le morceau original censuré du groupe de Mark Knopfler.
Sur le site de la radio Q104, la station justifie sa position en rappelant que les paroles de la chanson font allusion à la pensée du narrateur, un livreur un peu "lourdo", et non à celle de l'auteur, Mark Knopfler.
Du côté du Conseil Québecois des Gais et des Lesbiennes (CQGL), les avis convergent tous en faveur du groupe de Rock, allant même jusqu'à dire que la décision de censure du CCNR est "digne de l'inquisition".
"A trop crier au loup, les gens vont se dire qu'on fait juste chialer de toute façon. Le jugement vient amoindrir le travail colossal qu'on fait pour dénoncer les vraies situations problématiques".
Ronald Cohen, le président du CCNR a jugé, quant à lui, "possible mais peu probable" qu'une nouvelle décision soit prise concernant Money For Nothing.
Affaire à suivre...
Aujourd'hui, les radios K-97 et Q104 s'insurgent contre cette décision et revendiquent leur liberté d'expression. Vendredi dernier, elles diffusaient en boucle pendant une heure le morceau original censuré du groupe de Mark Knopfler.
Sur le site de la radio Q104, la station justifie sa position en rappelant que les paroles de la chanson font allusion à la pensée du narrateur, un livreur un peu "lourdo", et non à celle de l'auteur, Mark Knopfler.
Du côté du Conseil Québecois des Gais et des Lesbiennes (CQGL), les avis convergent tous en faveur du groupe de Rock, allant même jusqu'à dire que la décision de censure du CCNR est "digne de l'inquisition".
"A trop crier au loup, les gens vont se dire qu'on fait juste chialer de toute façon. Le jugement vient amoindrir le travail colossal qu'on fait pour dénoncer les vraies situations problématiques".
Ronald Cohen, le président du CCNR a jugé, quant à lui, "possible mais peu probable" qu'une nouvelle décision soit prise concernant Money For Nothing.
Affaire à suivre...
Happy Birthday Janis !
Aujourd'hui, mercredi 19 janvier 2011, Janis Joplin aurait eu 68 ans... Disparue trop tôt d'une overdose, le 4 octobre 1970, elle reste l'une des plus grandes voix féminines de la beat-generation.
Remember...
Remember...
dimanche 16 janvier 2011
samedi 15 janvier 2011
Le Canada censure Dire Straits
Pour la petite histoire, sachez que la chanson Money for Nothing, du groupe mythique de Mark Knopfler, s'est vue interdite d'antenne au Canada. La raison ? Jugée homophobe par le Conseil Canadien des Normes de la Radiotélévision (CCNR), les paroles de Dire Straits font à plusieurs reprises référence au mot "faggot" (approximativement "tapette").
"La version non modifiée de cette chanson a violé les dispositions des codes parce que même si le mot "faggot" en anglais peut avoir été acceptable à un moment donné dans le passé, il a évolué de sorte qu'il est devenu inacceptable dans la majorité des circonstances", explique le CCNR.
C'est un auditeur de la radio OZFM de Terre-Neuve qui avait porté plainte début 2010 contre le groupe.
Ce n'est pas la première fois que les auteurs de Sultans of Swing sont rappelés à l'ordre. Dire Straits avait déjà du enregistrer une version plus "soft" de Money for Nothing il y a quelques années. Le mot "faggot" avait alors été remplacé par "mother", "mama" (mère) ou encore "trucker" (camionneur) pendant leurs
concerts.
"La version non modifiée de cette chanson a violé les dispositions des codes parce que même si le mot "faggot" en anglais peut avoir été acceptable à un moment donné dans le passé, il a évolué de sorte qu'il est devenu inacceptable dans la majorité des circonstances", explique le CCNR.
C'est un auditeur de la radio OZFM de Terre-Neuve qui avait porté plainte début 2010 contre le groupe.
Ce n'est pas la première fois que les auteurs de Sultans of Swing sont rappelés à l'ordre. Dire Straits avait déjà du enregistrer une version plus "soft" de Money for Nothing il y a quelques années. Le mot "faggot" avait alors été remplacé par "mother", "mama" (mère) ou encore "trucker" (camionneur) pendant leurs
concerts.
mardi 11 janvier 2011
jeudi 6 janvier 2011
mardi 4 janvier 2011
Albert Raisner nous quitte : bye bye les yéyés
Décidément 2011 commence mal ! Après la mort de Bobby Farrell de Boney M, c'est au tour d'Albert Raisner, le roi des yéyés, de tirer sa révérence.
A 88 ans, ce virtuose de l'harmonica s'est éteint le 1er janvier dans sa maison de Saint-Cloud. Connu avant tout comme l'animateur vedette de l'émission Age Tendre et Tête de Bois, ce musicien hors pair a d'abord commencé sa carrière à la tête du Trio Raisner, dans les années 50. Il reprend ensuite les commandes du Jeu des 1 000 francs sur France Inter ; puis en en 1961, il lance son émission phare (dont le titre est d'ailleurs un clin d'oeil à un ouvrage littéraire de Gilbert Bécaud).
Accueillant Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Claude François, Jacques Brel, Sheila... Age tendre et tête de bois se place comme le programme incontournable des années 60. Albert Raisner y reçoit également les Beach Boys, alors encore jamais invités en France.
Précurseur, avant-gardiste, il permet, dans les années 70, d'ouvrir un peu les programmes (et les esprits) en faisant connaître des groupes anglais et américains aux téléspectateurs français de l'ORTF.
Rebaptisée plus tard Têtes de Bois et Tendres Années, l'émission continue de connaitre un succès jusqu'en 1968. Elle disparaitra ensuite du petit écran.
L'animateur culte rebondit en présentant Point Chaud, dans laquelle il invite Jimi Hendrix, ou encore Tremplin 80 et Salut à l'Accordéon.
Sa dernière apparition publique remonte à janvier 2010, au Zénith de Paris, pendant la tournée "Age Tendre et Tête de bois" qui reprend les tubes des yéyés depuis près de cinq ans.
A 88 ans, ce virtuose de l'harmonica s'est éteint le 1er janvier dans sa maison de Saint-Cloud. Connu avant tout comme l'animateur vedette de l'émission Age Tendre et Tête de Bois, ce musicien hors pair a d'abord commencé sa carrière à la tête du Trio Raisner, dans les années 50. Il reprend ensuite les commandes du Jeu des 1 000 francs sur France Inter ; puis en en 1961, il lance son émission phare (dont le titre est d'ailleurs un clin d'oeil à un ouvrage littéraire de Gilbert Bécaud).
Accueillant Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Claude François, Jacques Brel, Sheila... Age tendre et tête de bois se place comme le programme incontournable des années 60. Albert Raisner y reçoit également les Beach Boys, alors encore jamais invités en France.
Précurseur, avant-gardiste, il permet, dans les années 70, d'ouvrir un peu les programmes (et les esprits) en faisant connaître des groupes anglais et américains aux téléspectateurs français de l'ORTF.
Rebaptisée plus tard Têtes de Bois et Tendres Années, l'émission continue de connaitre un succès jusqu'en 1968. Elle disparaitra ensuite du petit écran.
L'animateur culte rebondit en présentant Point Chaud, dans laquelle il invite Jimi Hendrix, ou encore Tremplin 80 et Salut à l'Accordéon.
Sa dernière apparition publique remonte à janvier 2010, au Zénith de Paris, pendant la tournée "Age Tendre et Tête de bois" qui reprend les tubes des yéyés depuis près de cinq ans.
lundi 3 janvier 2011
Daddy Cool est mort
L'année 2010 s'achève par une triste disparition. Le chanteur et danseur de Boney M, Bobby Farrell, est décédé jeudi dernier dans sa chambre d'hôtel de Saint-Pétersbourg. A 61 ans, la voix de Rivers of Babylon venait de donner, la veille, un concert en Russie. La cause de son décès reste encore inconnue même si l'on sait que le chanteur connaissait des troubles respiratoires et cardiaques.
Pour le petite histoire, sachez que lorsque le groupe s'est fait connaître, la voix, pourtant si emblématique de Boney M, n'était pas celle de Bobby Farrell mais celle de son producteur, Frank Farian. Cependant son agent, John Seine, assure que seule la chanson Daddy Cool a été enregistrée de la sorte. "Au début, il est vrai que ce n'était pas Bobby Farrell, mais après c'était lui", a-t-il déclaré.
Vendredi soir, le 31 décembre, Bobby Farrell devait se rendre en Italie pour le dernier concert de l'année.
Pour le petite histoire, sachez que lorsque le groupe s'est fait connaître, la voix, pourtant si emblématique de Boney M, n'était pas celle de Bobby Farrell mais celle de son producteur, Frank Farian. Cependant son agent, John Seine, assure que seule la chanson Daddy Cool a été enregistrée de la sorte. "Au début, il est vrai que ce n'était pas Bobby Farrell, mais après c'était lui", a-t-il déclaré.
Vendredi soir, le 31 décembre, Bobby Farrell devait se rendre en Italie pour le dernier concert de l'année.
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